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Débats éternels

Pour ou contre les clubs?

bulletOverdrive a écrit :

Je suis secrétaire dans un club, un club "d'activités ludiques" (on a maquillé JdR pour avoir le soutien de la mairie). Bon donc j'en arrive à ma question; ayant commencé à jouer en comité restreint chez l'un et chez l'autre, j'en suis arrivé à fréquenter les clubs de JdR "juste pour voir" et j'y suis resté. Mais voilà l'ambiance n'est pas la même et étant membre du bureau de mon assoce je me rend compte que les rôlistes qui fréquentent le club sont un peu égoïstes: ils viennent avec leur groupe et ne laissent  que rarement quelqu'un rentrer dans leur partie (exception faites des filles et des copains de longue date). Donc voilà la question que je suis en train de me poser : est ce que les clubs tuent la convivialité ?

bullet

Texparties libres

Je m'occupe actuellement d'un club de jeu de rôle, et je suis bien d'accord: beaucoup de parties de club sont assez fermées... Comme c'était le cas dans celui-ci aussi, on a essayé de changer l'approche en organisant des parties libres, c'est à dire qu'à chaque fois, des meneurs proposent des tables à l'avance, mais les joueurs viennent sans avoir prévenu.

Le grand avantage est que ces parties sont très conviviales, et que n'importe qui est le bienvenu et est vite intègre (notamment ceux qui découvrent le jeu de rôle).

Là où cela ne va plus, c'est que l'organisation d'un tel système est très lourde, et totalement imprévisible, ce qui fait que des tables préparées avec amour tombent à l'eau assez souvent. 
Donc, si vous avez des idées pour améliorer cela, nous sommes preneurs... Ce n'est sans doute pas la solution parfaite, mais malgré ses inconvénients et ses limites, elle aide un peu à remédier au manque de facilité d'intégration...

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servenn : rigueur et discipline

j'ai été une fois élu Président Dictator Général d'un club de jdr.
Pourquoi Dictator? Parce que j'aime fixer des lignes de conduites et m'y tenir et de plus, j'ai la voix qui porte.

Sous mon "autorité", ce club a connu son âge d'or. 3 à 4 parties de jdr et une partie de jeu de plateau l'après-midi. Un planning était fait, et les MJ ne s'arrachaient plus les cheveux pour savoir qui ils allaient avoir à leurs tables. Les parties de jdr étaient suivies, bref, tout le monde y trouvait son compte même quand les gars râlaient parce que je gueulais quand c'était un peu la foire mais n'est ce pas là le rôle du président?

L'année suivante, à cause de la reprise d'une autre activité, je n'ai pu reprendre le club. Celui ci coula lamentablement un an plus tard.
De la rigueur et de la discipline sont nécessaires dans un club, si c'est l'anarchie c'est la fin.

De plus, une partie à 6, c'est déjà pas évident à gérer alors à +.............
Je pense que c'est pour ça que certains MJ s'enferment ou paraissent sectaires.
J'ai fait une fois une partie de Rolemaster en tant que joueur, à 8. L'horreur.

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Jérôme

je suis un petit nouveau dans mon club, n'étant arrivé "que" depuis 3 ans, et les autres se connaissant depuis plus de 10 ans.. 
Il est vrai que "eux" ne sont en club que pour le côté pratique, vu qu'on joue aussi chez des membres de temps en temps... Ben même si j'ai eu des débuts difficiles, je suis arrivé au club du jour au lendemain sans prévenir et ils m'ont bien accepté vu que je suis là...

C'est pour ça que les clubs sont vachement importants (pour moi en tout cas), pour permettre à ceux qui s'intéressent au JdR mais ne connaissent personne...

bullet

Tristan.Legranche <?> oui et non

JE dis que oui et que non, j'ai longuement fréquenté des clubs, et surtout un, qui a malheureusement fermé; mais passons. 

Oui, car il est vrai que de nombreux MJ rejettent les personnes qu'ils ne connaissent pas (mais dans ce cas là, pourquoi aller dans un club ?).

Non, car dans les clubs que j'ai fréquenté, et surtout en un..., les salles étaient fermées, ce qui préservait les parties des dérangeurs ..., et permettaient non seulement de faire comme si l'on était chez un copain (j'ai connu des joueurs qui avaient peur de se 'laisser aller au jeu" dans des clubs), mais que de nouveaux joueurs puissent débarquer en milieu de partie et s'ajouter à la longue liste des aventuriers. 
Mais pour moi, l'avantage d'un club, c'est non seulement, de rencontrer d'autres rôlistes, mais aussi de participer aux nombreuses activités que proposent ces dernier ( GN, soirée Murder ...)

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Arnaud Moragues : problème inévitable

Pour, bien sûr!
Je suis moi même secrétaire de l'Antre du Jeu, le club d'Halluin (près de Lille), et je suis très content de jouer en club.
Les clubs ne tuent pas nécessairement la convivialité, au contraire! C'est une vraie occasion de faire la connaissance de nouveaux joueurs et d'élargir ses horizons ludiques.

Néanmoins, il est vrai que tu soulèves un problème épineux quant à l'organisation d'un club.
Il est assez inévitable que dans un club des groupes aient tendance à se former (beaucoup de joueurs arrivent d'ailleurs par groupes), et cela peut être assez frustrant pour les autres qui ont du mal à trouver une place sur la partie d'un groupe déjà constitué. (cas n°1)

A l'inverse, si les membres sont trop dispersés sur les différentes parties, il arrivera un moment où deux de leurs campagnes tomberont le même jour, et ils devront choisir... ce qui là aussi est frustrant. (cas n°2)

Les deux tendances ont leurs inconvénients. Je ne sais pas s'il existe une solution miracle, mais dans mon club, la gestion des parties est prévue par le règlement intérieur, et un membre du CA s'occupe de leur planification d'une semaine sur l'autre.

A l'AdJ, nous avons tendance à essayer de séparer les groupes, de manière à ce que tout le monde puisse jouer avec tout le monde. Et lorsque des campagnes commencent, nous avons cette organisation à l'esprit, et les joueurs s'inscrivent aux campagnes en fonction de l'impératif n°2.

Quant aux nouveaux joueurs, s'ils viennent en groupe, autant mieux les intégrer au club en essayant de les dispatcher sur différentes tables (s'ils sont d'accord bien sûr).

Maintenant à propos du groupe dont tu parles, s'il passe toute ses sessions sur la même campagne, il n'y a pas vraiment de solution, à part faire en sorte que le meneur prenne des joueurs en plus. Et la limite maximale est vite atteinte...

Le plus simple serait d'en parler avec lui, et, pourquoi pas, de lui proposer de mener deux campagnes en parallèle, une semaine sur deux.

bullet

Skarn : Diplomacy GN

Pour ma part je n'ai jamais fait partie d'un club; par contre dans ma ville existait un club dont on connaissait quelques personnes avec lesquelles on jouait, et puis un soir lors d'une partie on a vu débouler la moitié du club qui a fièrement annoncé qu'ils avait démissionné parce que ce club avait connu une bande de "fout la merde" ( désolé pour le langage ) qui avait confondu gestion et politique. 
Bon évidement cela a tourné à la partie de Diplomacy GN et le groupe a été partiellement dissous, je dit bien partiellement car désormais dans ma ville nous avons 2 clubs de JdR .

Personnellement, cette histoire m'a renforcé dans ma conviction de ne pas faire partie d'un club, mais d'un autre côté c'est vrai que j'aimerais bien jouer avec d'autres personnes, peut-être que dans une autre ville ?

bullet

"François" <e-mail?> : se fixer un but

Avant de savoir si en général les clubs tuent la convivialité, il faut, à mon avis définir clairement les priorités de l'assoce.

Si j'étais toi, je chercherais à répondre à une certaine démocratisation du JDR : attirer des nouveaux joueurs. Un peu de pub faite maison, organisations de petits tournois, journée d'initiation, etc. le tout en ciblant le lycée le plus proche par exemple.

Plus facile à dire qu'à faire de dynamiser une asso. Dans ce cas, ce que tu gagnes en popularité pour le club, tu le perdras en qualité. A moins de t'entourer de MJ motivés, prêts à t'aider et à organiser une p'tite journée de sensibilisation.

Perso : La convivialité dans un club, c'est ce qui fait sa force. Rassembler des joueurs d'horizons différents pour faire partager une passion. Malheureusement ils ont aussi tendance à s'approprier le lieu.

Dans ta question, je crois que ton idée est déjà faite : il n'y a plus de convivialité. Alors organise, sensibilise, motive d'autres joueurs, sans laisser tomber tes anciens. Poses leur le problème et réfléchissez ensemble aux solutions.

bullet

Wolfein  : fiche, liste, planning

J'étais jusqu'à il y a quelques jours vice-président d'un club que certains d'entre vous connaissent peut-être au travers d'un tournoi organisé sur Lyon (le tournoi, c'était Retour vers le fut-TIL cette année, et le club, c'est le CLUJI).
Je n'ai pas démissionné, nous avons juste procédé au renouvellement du bureau de l'association comme tout les ans à la même époque.

Notre club est situé sur un campus, et basé sur une école d'ingénieur (INSA), ce qui facilite le recrutement et le renouvellement. Il s'agit je pense d'un cas un peu particulier comparé aux messages précédents, car notre école regroupe 4'000 étudiants.

Avec environ 55 membres actuellement, le club tourne agréablement bien, même si on n'a pu organiser beaucoup de parties "découverte" cette année du fait de l'organisation d'une autre manifestation.

Il est vrai que les parties se font plutôt au sein d'un groupe composé des membres actifs, des membres qui viennent à la permanence du club, mais nous avons essayé cette année (et nous continuerons sûrement) de mettre en place un système de fiches d'inscription permettant de connaître les jeux joués et maîtrisés par chacun.

Une liste des meneurs de jeu est disponible au club, et chacun est invité à contacter des membres pour organiser une partie. Il y a aussi un tableau dans les locaux du club, ou chacun peut indiquer qu'il recherche ou propose une partie de JdR, avec ses coordonnées.

Cette année, en période faste (vers le début de l'année civile), nous avons tourné à environ 4 ou 5 parties de JdR dans la semaine, principalement des campagnes, mais qui regroupaient des anciens et des nouveaux sans problèmes.
Un planning permet de savoir si le local est pris à tel moment, par qui, et pour quel jeu. Pareil, il y a les coordonnées du gars à contacter. Il est arrivé que quelqu'un se greffe sur une partie comme ça, en étant venu voir.

Il est vrai qu'il peut être gênant que quelqu'un observe une partie de JdR s'il n'en fait pas partie, mais en faisant preuve d'un minimum de discrétion, on peut s'intégrer au groupe sans "squatter", ce qui peut conduire à des rôles de PNJ, ou de PJ, et donc à une intégration à un groupe. Pour ce qui est des problèmes politiques, nous avons eu quelques problèmes cette année, car même un petite association permet d'exercer un pouvoir, ce que certains apprécient.
Pour l'instant, ces problèmes ont été réglés, sans que le club en souffre trop. Reste à voir les conséquences à long terme.

Dernier point (après j'arrête, promis) :
Au sein de notre école (qui est reconnue pour sa vie associative (non, je en fais pas de pub)), nous ne dissimulons pas du tout nos activités, et sommes plus ou moins reconnus, principalement grâce au tournoi que nous organisons, qui représente l'école dans le monde du JdR au yeux des officiels. Il nous faut quand même faire extrêmement attention à l'image du club à l'extérieur, car une action mal planifiée pouvant être mal interprétée, et nous causer pas mal de problèmes.

J'avais oublié : nous avons fait cette année une campagne à 11 joueurs (DragonLance) qui s'est bien passée, avec un seul MJ (chapeau à lui de nous avoir supportés). Cela demande pas mal de discipline pour que les choses tournent bien, notamment lors des combats, mais c'est réalisable.

WOL Alias Florent
CLUb Jeux et Imaginaire : clujiCHEZifhamy.insa-lyon.fr -   http://www.insa-lyon.fr/Associations/Cluji

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Rappar : dehors ou dedans

Cela se passe comme ça dans notre club:

- Il y a certains joueurs, les plus anciens, qui ont pris l'habitude de jouer ensemble. Ils ont formé des groupes de gens qui s'apprécient, ne passent plus au club et jouent en campagne à domicile, d'autant que nous fermons le centre à 3h00. Donc de ce côté-là, c'est clair que les parties sont "fermées".

Elles marchent, sont suivies, ont des joueurs réguliers, mais sont fermées.

- de l'autre côté, nous avons donc ceux qui jouent au club le samedi après-midi, entre autres parce qu'ils ne peuvent organiser les parties chez eux (parents, etc.).

nous sommes peut-être en manque de bons MJ, j'entends par là des MJ autres que scénar improvisés + Quête-objet-magique-Porte-Monstre-Trésor + AD&D ou Vampire.

Du coup, lorsqu'un MJ a l'originalité de proposer de jouer à Star Trek, il se retrouve avec 8 joueurs intéressés, et surtout ces joueurs ne veulent pas manquer le début d'une campagne, car sinon ils se retrouveraient exclus de la suite "ah ben non tu vois la campagne est commencée et on est trop de joueurs"
(objection : le MJ n'a qu'à faire 2 groupes et maîtriser 2 fois. Réponse : le MJ n'étant pas duplicable, cela repousse le groupe 2 aux calendes grecques )

Bien que nous programmions nos parties, la présence de chacun des joueurs n'est pas garantie, et nous voulons je pense éviter le côté "j'ai déjà mes 5 joueurs fétiches, casse-toi", j'ai vécu çà moi même, c'est horripilant.
En plus, pourquoi ces 5 joueurs-là, et pas les autres ? 
Et puis si ceux-là ne participent pas à cet épisode de la campagne, çà va leur manquer !

Alors du coup, nous jouons avec des groupes à géométrie variable, un coup tel joueur est là, un coup on en accepte un autre pour qu'il puisse jouer non mais il est venu pour çà, et sinon il ne joue à rien, un coup tel joueur vient faire un petit tour et puis s'en va.

Pour les campagnes ou le roleplay c'est pas le top, mais au moins personne n'est exclu (et je rappelle que nous avons l'homologation "club d'initiation Casus Belli", ce qui signifie que nous sommes censés être accueillants)

Et à la fin, on se retrouve à des parties à 6-8 joueurs, parce que pour une fois tous les joueurs sont là. 
Bien sûr, on pourrait faire deux tables, mais il faudrait qu'un autre MJ ait préparé quelque chose, et que des joueurs acceptent de jouer à un autre jeu que celui qu'ils veulent jouer (cas du Star Trek ci-dessus, personne ne voulait se sacrifier pour faire de la place en allant jouer à AD&D)

Existe-t'il une autre solution que groupes fermés/groupes ouverts irréguliers ?

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Pillop xénophobes

...
Dans mon club qui comptait plus de 80 membres nous étions trois maîtres à faire jouer régulièrement des "nouveaux". Il y a même eu un moment un règlement qui prévoyait le "parrainage" des nouveaux pour obliger les gens à les faire jouer, par un effet pervers les jeunes joueurs étaient systématiquement écartés des parties car il n'avait pas assez pratiqué avec leurs "parrains".

J'ai vu le même genre de problèmes à Nancy, Besançon, Troyes, Melun, Paris, Bordeaux, Lyon, Montpellier. Il y a même certains clubs qui n'autorisaient pas les "étrangers" à entrer dans leur locaux pour garder un esprit "pur" dans leurs aventures. 
Tout ça c'est un comportement tout à fait normal dans un milieu comme le jeu de rôle et si vous pensez le contraire demandez vous pourquoi les médias nous traitent comme les membres d'une secte.

(...)

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Florent EDOUARD

>par un effet pervers les jeunes joueurs étaient systématiquement écartés des parties

C'est sans doute pour cela que je n'ai jamais pratiqué le JdR en club...

> Il y a même certains clubs qui n'autorisaient pas les "étrangers"...

Non ? tu plaisantes ? Ca devait être des problèmes d'assurance ou de sécurité, la seule raison ne pouvait pas être celle là quand même...

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Rappar faiblesses humaines

Eh ho, keep cool ! La raison pour laquelle des groupes de joueurs (pas forcément en club) refusent les nouveaux, c'est parce qu'ils ont l'habitude d'être ensemble, se sentent bien, au complet, avec leurs petites habitudes. 

Quand un nouveau se pointe, et qu'il faudrait lui expliquer le monde, le passé des PJ, et tout ce qui s'est passé depuis le début d'une campagne, par facilité les anciens refusent : "aaahhhhh ouuuuuuuuuiiiii, tu saiiiiis, je crois que ça va pas être possiiiible, tu voiiiiiiiiiis on est en campaaaaaaaagne, au milieu de l'aventure, impossible d'intégrer de nouveaux joueurs, tu comprendrais rieeeeeeeeen, ... et puis les autres persos sont beaucoup plus forts...." (et autres excuses du même acabit de joueurs bétonnés dans leurs habitudes.)

> > . Tout ça c'est un comportement tout à fait normal dans un milieu comme le jeu de rôle

Oui, mais il ne faut pas voir cela péjorativement. La paresse et le repli sur soi sont des faiblesses humaines tout à fait normales dans tous les milieux, il faut faire des efforts pour intégrer un "nouveau", ne cherchons pas plus loin pourquoi les "intégrateurs" ne se bousculent pas au portillon.

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Bertrand Baudru obligations

Dans le dernier (et à priori il restera mon dernier club), il y avait l'obligation pour tous les MJ de faire des parties où ils acceptaient les débutants et les nouveaux membres. 
Le non-respect de cette obligation privait les MJ de leurs petits droits supplémentaires.
Ensuite nous tenions une petite base de données avec les maîtres et les campagnes qu'ils masterisaient ainsi que le nombre de joueurs dans chaque campagne. Et si un nouveau se pointait, après une à quatre parties de test avec des MJ différents on essayait de le faire rentrer dans une table.

Il n'y a pas que les clubs de jdr qui refusent les "étrangers". Généralement avec des parrains cela se passe sans problèmes.

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Ombrelune : des responsabilités

G. Gallais : > Un club n'est rien d'autres que l'assemblage des personnes qui s'y trouvent.

Non justement, c'est bien plus que ça. Ce sont des locaux, des cotisations à tenir, des charges administratives. Le pire c'est que 95 % des membres s'en moquent et que ce sont toujours les mêmes qui doivent faire tous le travail.
A l'inverse, lorsque les gens viennent chez toi, ils sont plus ouverts et t'aident, par exemple, à faire le ménage le matin.

> Peut-être as-tu eu une mauvaise expérience... mais il ne faut pas tout généraliser, il y en a sûrement qui feraient ton bonheur.

J'en doute. J'ai fait partie d'un club durant 11 ans. J'en ai été responsable durant 8 ans.
Le résultat, les gens qui jouent en club ne sont pas ouverts. En fait ils sont moins ouverts que les groupes. La seule chose qui les motive, c'est d'avoir des locaux qu'ils ne nettoieront pas.
Ils restent là et ce sont toujours les mêmes qui accueillent les nouveaux.
Tu te bats pour le faire survivre en passant une grande partie de ton temps libre là-bas et lorsque tu en as marre, tu pars et tu apprends que plusieurs personnes sont contentes de t'avoir viré, parce que franchement tu faisais "chier".

Le résultat : apparemment plus personne ne va là-bas.

Pour résumer cette malheureuse expérience - mais pas si malheureuse car j’ai de très bons voire d'excellents souvenirs de parties là-bas - ne me donne pas confiance dans les clubs.
Je pense que l'ambiance n'est pas toujours très bonne et qu'elle peut rapidement se dégrader.

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